Depuis la loi du 20 août 2008, la représentativité absolue (l’audience) des organisations syndicales de salariés est déterminée par le vote des salariés à l’issue du premier tour des élections professionnelles.
Chez Yves Rocher, elle se décline comme suit :
• CFE-CGC : 26.8 %
• CFTC : 21.59 %
• FO : 20.50 %
• CFDT : 14.86 %
• UNSA : 8.43 %
• CGT : 7.82 %
Pour être considéré comme représentatif, les syndicats doivent recueillir 10 % des voix
valablement exprimées.
La CGT et l‘Unsa ne sont pas représentatifs. La signature d’accords est déterminée la représentativité relative c’est à la répartition de l’ensemble des voix exprimées au premier tour des élections professionnelles entre les syndicats représentatifs.
Cela donne chez Yves Rocher :
• CFE-CGC : 32.01 %
• CFTC : 25.78 %
• FO : 24.48 %
• CFDT : 17.74 %
En signant l’accord GEPP la CFE-CGC porte une responsabilité particulière. Elle pourrait permettre à la direction d’Yves Rocher de supprimer 300 postes sans véritable accompagnement financier, en termes de formation… des salariés concernés.
EST-IL ACCEPTABLE QUE CE SOIT LE SYNDICAT DE CADRES,
CATÉGORIE PEU CONCERNÉE PAR LA GEPP,
QUI AIT LE DROIT DE VIE ET DE MORT SUR LES OUVRIERS
ET AGENTS DE MAÎTRISE DU GROUPE YVES ROCHER ?
à Force Ouvrière nous pensons le contraire et sommes déterminés à défendre les intérêts de tous les salariés d’Yves Rocher.
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